Les Jeux Olympiques de l'Utérus
Aujourd’hui je vais vous parler de l’entrainement sportif intensif de la Schtroumpfette en vue des Jeux Olympiques de l’Utérus. Comment je sais ça ?
Mais c’est bien simple… en bonne future mère, je participe activement à ce défi sportif ! Et ce qui est révolutionnaire dans notre technique d’entrainement, c’est que nous faisons ça exclusivement la nuit ! Et ouais, fallait y penser.
Donc je vous résume :
21h00 : étirements préliminaires pendant que maman regarde la télé. ( Et surtout si papa veut poser sa main pour sentir sa Schtroumpfette, on arrête tout ! C’est top secret, ya que maman qui a le droit de profiter de l’entrainement…)
22h00 : maman est couchée, les choses sérieuses commencent :
- Kick-boxing sur les parois abdominales de sa maman
- Saut en hauteur, saut en longueur, triple bond (oui tout ça à la fois, je sais c'est impressionnant le sport de haut niveau)
- Gymnastique accrobatique
Reste de la nuit : trampoline sur la vessie de maman (qui se lève donc 4 fois, je vous avez dit que je participais contre mon gré activement)
6h30 du mat’ : dérouillage matinal ou comment étirer un max le ventre de sa maman dans tous les sens.
7h00 : lever de la maman en question (parce que bon elle a le ventre souple mais faut pas pousser, hein! A cette heure là je déclare l’entrainement FINI, et c’est non négociable.)
Et après quand mes copines veulent sentir la Schtroumpfette bouger dans la journée, bin que dalle, niet, nada ! Y a rien qui bouge… bin oui les z’amis, faut bien que les athlètes se reposent un peu ! Et la Schtroumpfette la journée, et bin elle roupille ! (Pendant que maman, elle, se tape une longue et fatigante journée de boulot )
J’espère au moins qu’avec cet entrainement, la Schtroumpfette elle va nous faire un accouchement d’athlète : contractions non douloureuses, arrivée en 1heure chrono, pas d’épisio, pas de déchirure, et un grand sourire à la fin. Oui bon... on peut toujours rêver non ?